Quelques e-mails surnagent de mon courrier du jour. Dans le premier, un chaleureux "Juju", militant CPNT, qui me dit avoir "bien aimé [mon] truc" (jusque là, c'est un peu trouble...) sur les "quatre raisons de se réjouir" (cf. 10 juillet), "surtout la fin" (sic — le reste, c'est de la merde — merci Juju) le "passage sur" (Juju, c'est trouble à nouveau) "[...] Charlton Heston PTDR", me demande si je suis "vraiment grand veneur" ou si "c'est par provocation". Sache tout d'abord, Juju, que j'ai horreur de la provocation, sous toutes ses formes. Ensuite que oui, je suis un fondu, un maniaque, un freak de chasse à courre. Si le meilleur robinet de notre château — une gigantesque baraque féodale entourée de bois profonds — reste sa toiture, je suis, en revanche, assez fier de l'équipage que j'y entretiens. J'ai servi mon premier sanglier à
Le blog qu'on lit le matin avant de se coucher