Accéder au contenu principal

Þriði : « Est-ce que Charlie Chaplin avait la même moustache qu’Adolf Hitler ou vice-versa ? »



Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Jusqu'au monocle

« Quitte à avoir un maître spirituel, autant qu’il soit un séducteur pervers qui aime les femmes sportives, le luxe clinquant et la violence sadique. » — David van Horn, Pourquoi le Wotanisme ? (mai 2018)

Epître à Stateira

La merveilleusement belle, intelligente et talentueuse Julie Carmen – reine des vampires, psychothérapeute et yogini – demandait hier sur Twitter : I found three scorpions, a tarantula and giant rattlesnake around our house this week. How should I interpret that ? Je lui ai répondu, en substance, qu'il s'agissait d'une injonction à transmuter alchimiquement (scorpions), aux trois plans de l’existence (blanc, rouge et noir / spirituel, psycho-affectif et physique), ce que la féminité comporte de néfaste (tarentule), par le pouvoir de Mue et de Régénérescence (serpent géant) – Cette lecture ne peut que ravir l'obsédante Regine Dandridge, – mon lifetime crush , – devenue Sondeuse d'Inconscient et Éveilleuse de Kundalini ! Parlant d’Hollywood, je ne sais pas vous, mais si, moi, j’étais executive là-bas, l’idée de n’avoir pu saccager Charlie’s Angels avec un reboot féminin parce qu’il s’agissait déjà d’un trio de filles me déprimerait profondément. Sans co

Pimp ou l'abus de faiblesse est ma religion

Je reçois ce hate mail rigolo : Avant de devenir le leader escroc obsédé sexuel d’une secte vénale dangereuse, à quoi vous destiniez-vous ? Ma foi, je ne me destinais à rien. Je m’amusais, c’est tout. Je jetais l’argent par les fenêtres et le regardais tomber. C’était très gai.  Mais puisque la chose vous intéresse, j'ai naguère résumé ma jeunesse ainsi : J’ai mené une existence d’aventurier dandy, impliquant une multitude de tampons sur mon passeport, de liaisons sans lendemain, de rixes sanglantes et de cellules de dégrisement. Il vous faudrait trois vies pour approcher ne serait-ce que le nombre de ragots qui me concernent […] J’ai aussi contemplé un tas de choses bizarres, dans presque tous les cercles où se pratiquent les arts du mysticisme et de la magie – choses à la vue desquelles un bourgeois, un sceptique, un matérialiste, se fût instantanément réfugié dans la certitude qu’il était atteint d’aliénation mentale – Moi, simple hobereau glandeur, il ne m’est