Compte rendu de la conférence Pourquoi le Wotanisme ? (Jeudi 17 mai 2018 e.v.)
Abigaïl B – Raconte-nous ton après-midi de jeudi dernier...
Sir Shumule – Eh bien, à la demande de bobos gluten free, j’ai donné une conférence devant une vingtaine de hipsters, tous attentifs et binoclards… enfin… « donné »… façon de parler, puisque j’ai extorqué à mes hôtes une rémunération scandaleuse.
AB – Mais, euh... scandaleuse-scandaleuse ?...
SS – Ah oui. Obscène. Illégale, même, je pense… Et totalement injustifiée, puisque je n’avais aucun effort à fournir : le thème était Pourquoi le Wotanisme ?... C'est un sujet qu’il m’est déjà arrivé de traiter au blackout... alors, tu penses... fastoche...
AB – Au blackout ?! Tu veux dire qu'au réveil, tu ne te rappelais plus rien de ce que tu avais dit ?!
SS – Rien. Le lendemain, qui fut la plus effroyable gueule de bois de toute mon existence, une jeune femme m’avait déclaré – en me regardant comme une hippie regarde le révérend Sun Myung Moon – que mon discours avait « changé sa vie »… et je ne me rappelais rien... Seul un officier en retraite, franc-maçon de la vieille roche, et grand spécialiste de Claude de Saint-Martin, m’avait confié son étonnement qu'au plan herméneutique, tous mes exemples soient tirés de la chanson Benoît, tourne toi...
AB – Lol. Et donc, ce jeudi : où l’évènement a t-il eu lieu ?
SS – Dans le salon cosy d’une demeure campagnarde, dont l’extérieur (style posh délabré, enfoui sous une tonne de lierre) m’avait passablement ému, mais dont l’agencement intérieur m’a glacé : rien que du coquet trivial, tu vois ?… fonctionnel… douillet… et du beige, grands dieux !... du beige partout !...
AB – Dans le temps, tu aurais tourné les talons devant une déco à dominante beige…
SS – Eh oui… Mais ça, c’est le privilège de l’expérience… On perd en impulsivité furibarde ce que l’on gagne en blasement hautain… Oh, les impairs que l’impulsivité m’a fait commettre en ce monde !... T’ai-je raconté le soir où, trouvant le potage Saint-Germain trop salé, et m’efforçant d’en prendre à témoin la très belle jeune femme qui dînait avec moi, je me suis irrité de n’obtenir d’elle que des commentaires lénifiants, du genre « Oh, tu sais, mon chéri, moi, je trouve toujours très bon ce qu’on me sert dans ton château, etc. » ? De rage, je lui ai versé tout le contenu bouillant de la soupière sur la tête ! Eh bien ! juste après que le SAMU l'eut évacuée vers le Centre de Traitement des Grands Brûlés le plus proche, je me suis rendu compte, finissant mon assiette, qu’une fois un peu tiédi, le potage était, en fait, très mangeable...
AB –…
SS – Depuis, je m'exerce à la patience et à l'équanimité…
AB – Revenons à jeudi... Si je comprends bien : déco insoutenable ?
SS – Le Sage peut soutenir n’importe quelle déco s’il est payé pour cela. Et une reproduction du Grand Masturbateur de Salvador Dalí, trônant au-dessus de la cheminée, m’a semblé de bon augure… J’ignore si mes hôtes l’avaient faite exécuter à mon intention… et donc s'il fallait y voir un sarcasme… ou un Titre qu’ils me conféraient…
AB – Lol. Pourquoi « de bon augure » ?
SS – Eh bien, l’émotion artistique dépend exclusivement des souvenirs inconscients que la contemplation d’une œuvre fait résonner, par analogie synthétique, dans la psyché de l’observateur… Or, la vue de cette toile en ces lieux – ce splash of colours giclant à l’épicentre du décor de Chabrol où nous nous trouvions – m’a immédiatement rappelé une éjaculation faciale jadis administrée par moi à l’épouse angevine d’un cardiologue MoDem...
AB – Et donc ?
SS – Et donc je me suis dit que cette conférence était peut-être bien jouable après tout !.. Je jetai aussitôt mes forces dans la bataille : d'abord, j'exigeai que l’on fît livrer un bouquet Charme Absolu, des chandelles couleur mangue, et du Dom Pérignon – puis j’improvisai, fébrile, une décoration à base de coussins violets, amarante et cramoisis – c’était, comment dire ? über farabuleux ! – malheureusement…
AB – Malheureusement ?...
SS – Malheureusement, notre amie Esther, à la vue du cadre, désormais multicolore, dans lequel je m’apprêtais à prendre la parole, crut devoir s'écrier : « Mais enfin, David !… Quel âge crois-tu avoir exactement ?!… »
AB – Oh...
SS – Sa remarque m’a tout d'abord heurté (sous des dehors de théropode à monocle, je suis extrêmement sensible)... puis j'ai réalisé qu'Esther – H’ la bénisse – avait raison : oui, mon Enseignement consiste exclusivement à me persuader que j’ai toujours quinze ans !… D’où mon obsession maniaque pour les pommes d’or d’Iðunn… La Doctrine de Zug, qu’on se le dise une fois pour toutes, c’est mon syndrome de Peter Pan érigé en Religion.
AB – Donc, si l'on demande à un de tes élèves quelle est sa voie spirituel, il répond : le Siðr Zug ; et si on lui demande de définir le Siðr Zug...
SS – ... il répond : « C’est le Culte du Syndrome de Peter Pan de Sir Shumule ».
AB – Mais tu as pourtant déclaré, je cite :
SS – Eh oui. N'oublie pas qu'il s'agit de Wotanisme, c'est-à-dire de paradoxe. Wotan d'Ásaland, synthèse d'Hannibal Lecter et de Groucho Marx, est l'incarnation du paradoxe. Songe qu'Hitler s'est réclamé de Wotan bien que Wotan s'habille en rabbin.
AB – Lol. Ensuite ?
SS – Un solide cocktail Looping-Papaye m’a tiré de mon hébétude (Ce breuvage, particulièrement prisé des multi-milliardaires « branchouilles » hantant le bar des Bains-Douches au milieu des années 80, s'appelait, à l'origine, SS in Uruguay et fut immortalisé sous ce nom par une chanson de Serge Gainsbourg en 1975. Sa recette, en effet, avait été conçue par d'anciens hauts-dignitaires de la Schutzstaffel, qui, exilés en Amérique latine après la Seconde guerre mondiale, et ne faisant plus rien que boire toute la journée au bord des piscines de leurs haciendas en remâchant des souvenirs de défaite, s'étaient employés à élaborer un mélange procurant une qualité d'ivresse exceptionnelle) : j’ai donné le meilleur kennsla de ma carrière, traité le sujet avec une profondeur inouïe, étayant mon argumentation sur la base de ce shumulisme essentiel :
Note qu'au cœur de la transe, l'occasion m'a été donnée de citer ce qui est peut-être la parole la plus importante jamais prononcée par Wodenson : < Ne m'accusez pas d'avoir quoi que ce soit à voir avec la droite, ni même avec les Blancs – l'heure est à présent venue de créer quelque chose de nouveau. > (Meredith Vieira interview of David Lane, p.26, §1)
AB – On m’a dit que tout avait été génial – tes nouveaux disciples chantent tes louanges 24/7, s'arrêtant à peine pour respirer entre les cantiques – mais que tu étais, malgré tout, parti « furieux » de cette conférence ?...
SS – C'est exact.
AB – Que s'est-il passé ?
SS – Après le kennsla, un festin somptueux nous a été servi. Obsédé par la remarque d’Esther sur mon âge, j’étais d’humeur bourrue... Ma voisine de droite me parlait de Jung, ma voisine de gauche me faisait du genou, pendant que morose, je fixais d’un œil glauque l’étiquette du Gewurztraminer... Brusquement, le maître de maison, qui égayait la table de banalités pétillantes, annonça que des steaks de cheval étaient au menu, « en hommage à l’Althing de 999 »* – D’habitude, je raffole de la viande de cheval, qui donne à l’ancien joueur de polo et pratiquant de pentathlon moderne que je suis, la sensation, exquisement cannibale, de dévorer un ami proche – mais là, non ! c'était trop ! j'éclatai ! – je dis au bonhomme : « Franchement, j’en ai estropié pour moins que ça ! Je ne resterai pas une seconde de plus dans cette maison ! Adieu ! », et je partis en claquant la porte.
AB – Mais enfin, pourquoi ?!
SS – Comment ça, « pourquoi » ?!... Du Gewurztraminer sur de la viande de cheval !!!... Je te demande un peu !...
– 24 mai 2018
* L'Althing de 999 e.v. est celui où nos Sages eurent à se prononcer sur la question de l'adoption du Christianisme comme religion officielle de l'Islande. Le Conseil décida de s'en remettre à la décision de Goði Thorgeir Thorkelsson, qui après avoir fait Huð un jour et une nuit en Utiseta dans la neige, déclara que l'Islande acceptait la tutelle chrétienne, à condition que les chrétiens garantissent aux Islandais le droit de continuer à pratiquer leur Wotanisme en privé et le droit de continuer à manger de la viande de cheval.
Abigaïl B – Raconte-nous ton après-midi de jeudi dernier...
Sir Shumule – Eh bien, à la demande de bobos gluten free, j’ai donné une conférence devant une vingtaine de hipsters, tous attentifs et binoclards… enfin… « donné »… façon de parler, puisque j’ai extorqué à mes hôtes une rémunération scandaleuse.
AB – Mais, euh... scandaleuse-scandaleuse ?...
SS – Ah oui. Obscène. Illégale, même, je pense… Et totalement injustifiée, puisque je n’avais aucun effort à fournir : le thème était Pourquoi le Wotanisme ?... C'est un sujet qu’il m’est déjà arrivé de traiter au blackout... alors, tu penses... fastoche...
AB – Au blackout ?! Tu veux dire qu'au réveil, tu ne te rappelais plus rien de ce que tu avais dit ?!
SS – Rien. Le lendemain, qui fut la plus effroyable gueule de bois de toute mon existence, une jeune femme m’avait déclaré – en me regardant comme une hippie regarde le révérend Sun Myung Moon – que mon discours avait « changé sa vie »… et je ne me rappelais rien... Seul un officier en retraite, franc-maçon de la vieille roche, et grand spécialiste de Claude de Saint-Martin, m’avait confié son étonnement qu'au plan herméneutique, tous mes exemples soient tirés de la chanson Benoît, tourne toi...
AB – Lol. Et donc, ce jeudi : où l’évènement a t-il eu lieu ?
SS – Dans le salon cosy d’une demeure campagnarde, dont l’extérieur (style posh délabré, enfoui sous une tonne de lierre) m’avait passablement ému, mais dont l’agencement intérieur m’a glacé : rien que du coquet trivial, tu vois ?… fonctionnel… douillet… et du beige, grands dieux !... du beige partout !...
AB – Dans le temps, tu aurais tourné les talons devant une déco à dominante beige…
SS – Eh oui… Mais ça, c’est le privilège de l’expérience… On perd en impulsivité furibarde ce que l’on gagne en blasement hautain… Oh, les impairs que l’impulsivité m’a fait commettre en ce monde !... T’ai-je raconté le soir où, trouvant le potage Saint-Germain trop salé, et m’efforçant d’en prendre à témoin la très belle jeune femme qui dînait avec moi, je me suis irrité de n’obtenir d’elle que des commentaires lénifiants, du genre « Oh, tu sais, mon chéri, moi, je trouve toujours très bon ce qu’on me sert dans ton château, etc. » ? De rage, je lui ai versé tout le contenu bouillant de la soupière sur la tête ! Eh bien ! juste après que le SAMU l'eut évacuée vers le Centre de Traitement des Grands Brûlés le plus proche, je me suis rendu compte, finissant mon assiette, qu’une fois un peu tiédi, le potage était, en fait, très mangeable...
AB –…
SS – Depuis, je m'exerce à la patience et à l'équanimité…
AB – Revenons à jeudi... Si je comprends bien : déco insoutenable ?
SS – Le Sage peut soutenir n’importe quelle déco s’il est payé pour cela. Et une reproduction du Grand Masturbateur de Salvador Dalí, trônant au-dessus de la cheminée, m’a semblé de bon augure… J’ignore si mes hôtes l’avaient faite exécuter à mon intention… et donc s'il fallait y voir un sarcasme… ou un Titre qu’ils me conféraient…
AB – Lol. Pourquoi « de bon augure » ?
SS – Eh bien, l’émotion artistique dépend exclusivement des souvenirs inconscients que la contemplation d’une œuvre fait résonner, par analogie synthétique, dans la psyché de l’observateur… Or, la vue de cette toile en ces lieux – ce splash of colours giclant à l’épicentre du décor de Chabrol où nous nous trouvions – m’a immédiatement rappelé une éjaculation faciale jadis administrée par moi à l’épouse angevine d’un cardiologue MoDem...
AB – Et donc ?
SS – Et donc je me suis dit que cette conférence était peut-être bien jouable après tout !.. Je jetai aussitôt mes forces dans la bataille : d'abord, j'exigeai que l’on fît livrer un bouquet Charme Absolu, des chandelles couleur mangue, et du Dom Pérignon – puis j’improvisai, fébrile, une décoration à base de coussins violets, amarante et cramoisis – c’était, comment dire ? über farabuleux ! – malheureusement…
AB – Malheureusement ?...
SS – Malheureusement, notre amie Esther, à la vue du cadre, désormais multicolore, dans lequel je m’apprêtais à prendre la parole, crut devoir s'écrier : « Mais enfin, David !… Quel âge crois-tu avoir exactement ?!… »
AB – Oh...
SS – Sa remarque m’a tout d'abord heurté (sous des dehors de théropode à monocle, je suis extrêmement sensible)... puis j'ai réalisé qu'Esther – H’ la bénisse – avait raison : oui, mon Enseignement consiste exclusivement à me persuader que j’ai toujours quinze ans !… D’où mon obsession maniaque pour les pommes d’or d’Iðunn… La Doctrine de Zug, qu’on se le dise une fois pour toutes, c’est mon syndrome de Peter Pan érigé en Religion.
AB – Donc, si l'on demande à un de tes élèves quelle est sa voie spirituel, il répond : le Siðr Zug ; et si on lui demande de définir le Siðr Zug...
SS – ... il répond : « C’est le Culte du Syndrome de Peter Pan de Sir Shumule ».
AB – Mais tu as pourtant déclaré, je cite :
J'ai dépassé ce stade du Syndrome de Peter Pan. Psychologiquement, j'ai réussi à sortir de l'enfance. A atteindre la puberté. Résultat: mon enfant intérieur se masturbe constamment. (Sol in Scorpio)
SS – Eh oui. N'oublie pas qu'il s'agit de Wotanisme, c'est-à-dire de paradoxe. Wotan d'Ásaland, synthèse d'Hannibal Lecter et de Groucho Marx, est l'incarnation du paradoxe. Songe qu'Hitler s'est réclamé de Wotan bien que Wotan s'habille en rabbin.
AB – Lol. Ensuite ?
SS – Un solide cocktail Looping-Papaye m’a tiré de mon hébétude (Ce breuvage, particulièrement prisé des multi-milliardaires « branchouilles » hantant le bar des Bains-Douches au milieu des années 80, s'appelait, à l'origine, SS in Uruguay et fut immortalisé sous ce nom par une chanson de Serge Gainsbourg en 1975. Sa recette, en effet, avait été conçue par d'anciens hauts-dignitaires de la Schutzstaffel, qui, exilés en Amérique latine après la Seconde guerre mondiale, et ne faisant plus rien que boire toute la journée au bord des piscines de leurs haciendas en remâchant des souvenirs de défaite, s'étaient employés à élaborer un mélange procurant une qualité d'ivresse exceptionnelle) : j’ai donné le meilleur kennsla de ma carrière, traité le sujet avec une profondeur inouïe, étayant mon argumentation sur la base de ce shumulisme essentiel :
Quitte à avoir un maître spirituel, autant qu’il soit un séducteur pervers qui aime les femmes sportives, le luxe clinquant et la violence sadique.
Note qu'au cœur de la transe, l'occasion m'a été donnée de citer ce qui est peut-être la parole la plus importante jamais prononcée par Wodenson : < Ne m'accusez pas d'avoir quoi que ce soit à voir avec la droite, ni même avec les Blancs – l'heure est à présent venue de créer quelque chose de nouveau. > (Meredith Vieira interview of David Lane, p.26, §1)
AB – On m’a dit que tout avait été génial – tes nouveaux disciples chantent tes louanges 24/7, s'arrêtant à peine pour respirer entre les cantiques – mais que tu étais, malgré tout, parti « furieux » de cette conférence ?...
SS – C'est exact.
AB – Que s'est-il passé ?
SS – Après le kennsla, un festin somptueux nous a été servi. Obsédé par la remarque d’Esther sur mon âge, j’étais d’humeur bourrue... Ma voisine de droite me parlait de Jung, ma voisine de gauche me faisait du genou, pendant que morose, je fixais d’un œil glauque l’étiquette du Gewurztraminer... Brusquement, le maître de maison, qui égayait la table de banalités pétillantes, annonça que des steaks de cheval étaient au menu, « en hommage à l’Althing de 999 »* – D’habitude, je raffole de la viande de cheval, qui donne à l’ancien joueur de polo et pratiquant de pentathlon moderne que je suis, la sensation, exquisement cannibale, de dévorer un ami proche – mais là, non ! c'était trop ! j'éclatai ! – je dis au bonhomme : « Franchement, j’en ai estropié pour moins que ça ! Je ne resterai pas une seconde de plus dans cette maison ! Adieu ! », et je partis en claquant la porte.
AB – Mais enfin, pourquoi ?!
SS – Comment ça, « pourquoi » ?!... Du Gewurztraminer sur de la viande de cheval !!!... Je te demande un peu !...
– 24 mai 2018
* L'Althing de 999 e.v. est celui où nos Sages eurent à se prononcer sur la question de l'adoption du Christianisme comme religion officielle de l'Islande. Le Conseil décida de s'en remettre à la décision de Goði Thorgeir Thorkelsson, qui après avoir fait Huð un jour et une nuit en Utiseta dans la neige, déclara que l'Islande acceptait la tutelle chrétienne, à condition que les chrétiens garantissent aux Islandais le droit de continuer à pratiquer leur Wotanisme en privé et le droit de continuer à manger de la viande de cheval.
Le Grand Masturbateur, par Salvador Dalí |
Je n'arrive pas à trouver de jus de papaye! Ils me proposent de la goyave, de la mangue, de la mangue-goyave, mais pas jus de papaye!
RépondreSupprimerLe mieux est de faire le jus de papaye soi-même, qui ne nécessite qu'une papaye fraîche et un mixer.
SupprimerOu commander du jus déjà fait sur internet.
Moi, je suis trop natif de la Vierge pour imaginer boire une recette de remplacement, mais d'aucuns disent que l'on peut substituer du nectar de goyave au jus de papaye : c'est ce qu'il y a de plus proche - Bien sûr, il s'agit dès lors d'un Looping-Goyave - ce qui en jette beaucoup moins au niveau de l'intitulé, mais procure, dit-on, exactement la même ivresse.
Roi des blogueurs.
RépondreSupprimerSaint-Simon sous acide.
Chat de Chester (ou Shah de Chester).
Roi barbare mérovingien parachuté dans l'occident judéo-chrétien démocratique et décadent.
Et maintenant: Théropode à Monocle.
Je lis SS pour ses surnoms.
Vous avez oublié Grand Masturbateur.
SupprimerHervé Ryssen utilise Bing.
RépondreSupprimer"Il m’avait confié son étonnement qu'au plan herméneutique, tous mes exemples soient tirés de la chanson Benoît, tourne toi."
RépondreSupprimerJe n'avais pas ri aussi fort depuis au moins l'époque de la chanson Benoît, tourne toi.
:)
SupprimerLe billet est bien. Le tableau de Dali est immonde.
RépondreSupprimerC'est quoi le problème avec Ryssen
RépondreSupprimerSi j'ai bonne mémoire, ça remonte à l'époque où Jacques Leclerc avait publié son "Annuaire de la droite subversive". L'ordre alphabétique avait voulu que les articles respectivement consacrés à Hervé (qui était la tête-de-Turc de mon blog) et à moi fussent en regard l'un de l'autre. L'auteur avait écrit 15 lignes sur Hervé et trois pages sur moi. Ça avait rendu Hervé agressif.
SupprimerSi c'est comme ça que tu traites "qu'est-ce que le wotanisme ?" j'ai hâte de t'entendre sur "qu'est-ce que l'alcoolisme, le snobisme, le narcissisme et les troubles bipolaires ?"
RépondreSupprimerLa seule chose plus scandaleuse que manger du cheval est d'éjaculer sur le visage de la femme d'un médecin qui sauve des vies.
RépondreSupprimerLe personnage sur le tableau a l'air d'être une sexdoll, mais au mauvais sens du terme.
RépondreSupprimerIl y a un mauvais sens ??
Supprimer"Songe qu'Hitler s'est réclamé de Wotan bien que Wotan s'habille en rabbin."
RépondreSupprimerJe parie que vous n'êtes pas capable de faire le cours de dimanche prochain sur la question: "Était-ce Charlie Chaplin qui avait la même moustache que Hitler ou le contraire ?"
Tenu.
SupprimerÇa me tape sur les nerfs quand les liens renvoient à l'autre blog..:/.. ne fais plus ça!!..
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